Avez-vous déjà entendu l’expression « Qui aime bien, châtie bien ! » ?
Il n’y a pas si longtemps, l’éducation justifiait des actes maltraitants physiques, psychologiques, verbaux. Ces attitudes sont proscrites aujourd’hui mais notre société est profondément imprégnée par de nombreux types de violences, plus ou moins visibles et pernicieuses.
Ayant moi-même souffert de violences dans l’enfance et à l’âge adulte, j’ai constaté comme elles avaient grandement contribué à créer chez moi :
– un déficit important de l’estime de moi, de la confiance en soi,
– un affaiblissement intense de ma vitalité, de ma capacité à me concentrer et travailler, de ma capacité à prendre soin de moi, de ma capacité à être heureuse,
– un affaiblissement de mon système immunitaire et une augmentation de sensations physiques de stress et d’angoisse.
Finalement, toute la violence « encaissée » dans ma vie, au lieu de me rendre forte, affaiblissait tout mon système, monopolisant mes pensées, mes émotions, mon corps, et toutes mes ressources intérieures, me bloquant dans tous les domaines de ma vie.
La violence était arrivée, tantôt pour me « rendre plus forte », tantôt pour se décharger négligemment sur moi d’un trop plein de stress et de frustrations vécus par ailleurs.
Il m’a fallu des années pour la reconnaître, la remettre en question, la comprendre et m’en guérir, des années pour la relâcher et la libérer de ma vie.
Cette violence, d’autres personnes de ma famille en ont souffert, terriblement.
Mais elles ont suivi la vieille consigne… Elles ont « mis un mouchoir dessus ».
Elles ont essayé de vivre avec, de prendre sur elles, en lui tournant le dos, en détournant le regard, en taisant l’inadmissible. Mais elles ont été rongées par toute sortes de douleurs indicibles et elles ont fini par l’expulser violemment, créant elles-mêmes la douleur et le chaos, amplifiant leur propre mal-être et semant davantage de violence dans leur vie.
La violence produit des émotions tellement destructrices qu’elles ne peuvent être digérées en nous, ni physiquement, ni émotionnellement, ni intellectuellement.
Deux alternatives s’offrent généralement à une personne victime de violence :
– soit la personne gardera cette violence en elle et elle se blessera elle-même, se dévalorisant, se méprisant, se sabotant,
– soit elle tentera d’expulser cette violence hors d’elle et elle la projettera sur les autres, les blessant à leur tour, les dévalorisant, les méprisant, les sabotant.
La violence détruit tous ceux qu’elle touche, si on ne l’arrête pas.
Une troisième option est possible : être accompagné pour comprendre, libérer et apaiser cette violence, qu’elle trouve son origine, dans votre histoire personnelle, familiale, ancestrale ou karmique.
Vous pourrez alors :
– prendre conscience de la violence vécue et réellement ressentie,
– mieux comprendre la situation ;
Une investigation spirituelle peut être menée pour comprendre le contexte et l’état d’esprit des personnes qui vous ont blessé.
– faire la paix avec votre passé, vos origines, vos parents et ancêtres.
Faire la paix signifie accueillir ces évènements, les émotions, les pensées et les sensations physiques associées, puis les relâcher dans l’Amour… cette énergie, cette force, avec laquelle je vous accompagne incessamment.
Vous pourrez alors vous affranchir de la douleur, de la honte, de la culpabilité, de la peur, de la colère, de la tristesse, pour finalement vous réapproprier votre vie, votre santé, votre joie, votre capacité à créer une vie douce, légère, riche à tous niveaux.
Imaginez… Quelle personne vous pourriez être si votre focalisation et votre énergie n’étaient pas sans cesse vampirisées par de vieilles blessures ?
Imaginez… Comment seriez-vous, avec vous-même ? avec vos parents ? vos enfants ? vos proches ? vos amis ? vos collègues ? vos clients ? si vous vous sentiez véritablement libre, heureux, léger, joyeux, en sécurité et en confiance avec vous-même, les autres et la vie… 🙂
Imaginez une vie remplie d’amour, de joie et de paix ! 🙂
C’est tout ce que je vous souhaite ! ❤ ❤ ❤








